"J'ai pensé le film de façon politique. Il débute de manière très solaire, comme a pu l'être l'idéal de libération sexuelle dans les années 1970, puis on sombre dans une sorte d'aliénation, une injonction à jouir pas très excitante. J'ai l'impression qu'aujourd'hui, le désir se vit plus au supermarché que dans l'amour... À la fin, on nage dans des ténèbres cauchemardesques" - Alain Guiraudie

No hay comentarios:
Publicar un comentario